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 mayes ● know that means I’ll have to leave

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Mayella Milburn

Mayella Milburn


Messages : 138
Date d'inscription : 10/10/2014

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mayes ● know that means I’ll have to leave Empty
MessageSujet: mayes ● know that means I’ll have to leave   mayes ● know that means I’ll have to leave EmptyJeu 3 Jan - 20:52


mayella milburn
stay soft. it looks beautiful on you.

( basic info )
nom, prénom ○ Mayella Milburn âge, lieu de naissance ○ 22 ans tout juste, née à Oak Grove, Idaho nationalité, origine·s ○ américaine orientation sexuelle ○ hétérosexuelle situation amoureuse ○ dans la merde études, diplômes ○ Mayella n'a pas fait d'études (c'est ça d'être pas riche dans un patelin pas civilisé). job ○ Elle est serveuse au Red Flame, un diner, et est également bénévole au Met Museum, dans l'espoir d'y obtenir un vrai poste un jour. revenus ○ Pas glorieux... Elle vit chez son frère depuis qu'elle est arrivée à New York et risque d'y rester encore un moment car elle n'a clairement pas de quoi être financièrement indépendante. quartier ○ Brooklyn. situation familiale ○ Sa mère vit à Seattle, son père biologique refuse de la considérer comme autre chose qu'une erreur, son père est en prison, et elle vient d'arriver à New York pour rejoindre son grand frère, dont elle ne pensait pas dire un jour qu'il est la seule chose stable dans sa famille. qualités ○ observatrice, cultivée, résiliente, attentive, travailleuse défauts ○ individualiste, émotive, taciturne, prompte à la suranalyse, dépendante.

groupe ○ master of none avatar ○ sophie turner moodboard ○ (facultatif) ici


( overview )
Jusqu’à ses 13 ans, Mayella Milburn a vécu dans une famille américaine à peu près normale dans un patelin paumé de l’Idaho. Et puis un beau jour, les disputes entre sa mère et son père ont commencé à s’intensifier. Elle, elle n’y comprenait pas grand-chose, parce que son frère faisait en sorte qu’elle n’y comprenne pas grand chose. Et puis un soir, tout s’est accéléré. Mayella ne comprit qu’après coup de sa mère avait tenté d’empoisonner son père avant de s’enfuir pour ne jamais revenir.
De là, Mayes a vécu seule avec son père et son frère. Ce dernier se fit rapidement de plus en plus distant, et bien vite il quitta le foyer pour s’installer, seul, dans sa propre décadence. Ils vivaient toujours dans la même ville et se voyaient encore de temps en temps, mais la gamine avait quand même perdu son frère et elle eut du mal à l’accepter. Du côté de Mayes, cela contribua à détériorer davantage l’ambiance à la maison. Son père ne faisait même plus semblant de l’apprécier ne serait-ce qu’un peu. Quand tout allait bien entre eux, il l’ignorait, quand tout allait moins bien, il l’insultait et la manipulait, et quand cela ne suffisait plus à extérioriser une frustration que Mayes ne comprenait pas, il lui arrivait de taper un peu, comme ça, par accident.
Mayes se sentait prise au piège. D’un côté elle avait un frère et une mère qui avaient disparu sans trop de raisons, et de l’autre elle avait un père un peu rude mais qui avait le mérite d’être là. Alors elle se plaignait pas trop. Elle avait pas grand monde auprès de qui se plaindre, de toute manière, à part peut-être Oliver, le meilleur ami de Hoyt, qu’elle connaissait depuis sa naissance et dont elle se rapprochait à mesure que Hoyt s’éloignait. Et dont elle continua à se rapprocher même lorsqu’il lui sembla qu’il n’était plus vraiment possible de se rapprocher davantage d’un meilleur-ami-du-grand-frère.
Il y avait quelque chose d’un peu idyllique dans sa relation avec Oliver, mais Mayes n’était pas convaincue que c’était très sain de se mettre en couple avec quelqu’un juste parce que cette personne la traitait avec un minimum de décence. Sauf que ce n’était pas que ça, bien sûr. Ça n’avait sans doute jamais été que ça. Et alors qu’elle commençait à réaliser qu’il y avait en elle quelque chose d’étrangement ressemblant à de l’amour, tout dégringola.
Car un beau soir, alors qu’elle avait un rencard avec Ollie et qu’elle avait hâte hâte hâte, son père rentra plus tôt que d’habitude, et aussi plus fébrile que d’habitude. Et Mayes finit à l’hôpital, vraiment, vraiment, vraiment très amochée, sans avoir vraiment compris ce qui avait mis son père en rogne, hormis que cela avait à voir avec un hypothétique coup de fil qu’elle était censée avoir reçu de la part de Dieu savait qui.
C’est là que Hoyt refit surface de derrière ses shoots divers et variés, et lui expliqua, presque sans ciller, que son père, chez qui elle vivait seule depuis désormais six ans, et qui la brutalisait quotidiennement, n’était pas son père biologique. Et que c’était d’ailleurs pour ça qu’il la détestait. Et que c’était parce qu’il avait cru que son “vrai” père avait tenté d’entrer en contact avec elle et allait lui dérober à la fois la raison et la cible de ses crises de colère. Mayella en aurait presque ri, si son monde ne venait pas de s’écrouler.
Il fut décidé qu’elle irait vivre chez Oliver pendant un temps, pour trouver une solution à cette sob story digne d’une des pièces qu’elle improvisait avec sa troupe de théâtre. Elle ne voulait pas retourner chez son père, et elle n’avait pas assez d’informations ni de certitudes pour aller trouver son autre père, alors elle resta chez Ollie. Jusqu’à ce que son père estime qu’il était temps qu’elle rentre à la maison, et vienne la chercher chez Ollie avec une batte de baseball en guise d’arguments.
Mayella n’était pas là lorsque cela se passa, mais elle en vit le résultat sur le corps d’Oliver. Oliver, qui eut la présence d’esprit de faire ce qu’elle n’avait jamais eu la force de faire, et qui traîna Curtis Milburn en justice. Verdict : trois belles années de prison. Trois belles années durant lesquelles Mayella n’aurait plus à se soucier de rien.
Sauf que même une fois son père derrière les barreaux, elle n’arrivait pas à se défaire d’un souci en particulier : qui était son père ? Alors discrètement, sans rien dire à personne, elle mena son enquête. Elle reprit contact avec sa mère, trouva l’adresse de son père biologique, organisa tout un périple jusqu’à lui, pendant que Hoyt et Oliver volaient doucement vers le succès et vers les concerts un peu partout autour d’eux.
Et elle aussi, elle prit finalement son envol jusqu’à Portland, Oregon, où elle alla frapper à la porte de Harvey Hartell, qui lui ouvrit ladite porte pendant exactement deux heures et trente-deux minutes, durant lesquelles il lui expliqua qu’il savait qu’elle existait, mais qu’il avait lui-même une petite famille de son côté (deux filles, un garçon) et que tout cela n’avait été qu’une triste erreur qu’il préférait oublier et ne pas imposer à sa douce femme Hera (qui, elle, ignorait jusqu’à l’existence de Mayes). Cela fit mal, sur le coup, de n’être qu’une erreur effacée nonchalamment, et elle passa quelques nuits dans un motel délabré en périphérie de Portland avant de se résoudre à appeler sa mère au secours.
La suite, pas grand monde la connaît. Elle rêverait de dire que son séjour chez maman et la psychothérapie qu’elle a démarrée ont tout réglé en un claquement de doigts. Elle rêverait de dire qu’elle n’a pas passé des jours entiers à pleurer, puis à regarder fixement le plafond de la chambre d’amis dans laquelle elle dormait, puis à pleurer encore ; qu’elle n’a pas oublié de se nourrir quand sa mère était en déplacement et qu’elle n’a pas abusé de somnifères de temps en temps ; qu’elle n’a pas jeté son téléphone contre un mur après avoir lu les sms d’Oliver et qu’elle n’a pas frappé ce même mur quelques instants après au point d’en avoir une phalange fêlée. Mais Mayella Milburn n’est plus trop une menteuse désormais, plus même lorsqu’il s’agit de se préserver, alors elle ne dira pas tout ça.
Elle dira par contre volontiers qu’au bout de quelques mois, les choses ont changé, et que de ses mécanismes malsains il ne reste aujourd’hui plus grand chose – il n’est plus question de frapper quelqu’un à la moindre contrariété, ou de bourrer de somnifère la nourriture d’une autre personne pour fuir tout désagrément.
Alors peut-être, peut-être, qu’il est grand temps d’aller faire un tour à New York.


( the devil is in the details )
Mayes est une mordue de vieux (enfin tout est relatif) films. Love with the Proper Stranger, Sleuth, Rebel Without a Cause, The Great Escape, Willow (oui, pour elle c'est vieux), North by Northwest font partie des références qu'elle stream le plus souvent dans ses soirées de perdition. Pas de Kubrick, par contre. Jamais de Kubrick. ● Elle est arrivée très récemment à New York, sur un coup de tête, sans prévenir personne ni rien préparer, du coup elle a dû trouver très rapidement un job, et s'est retrouvée serveuse au Red Flame sans trop comprendre comment. Ça ne lui plait pas franchement, mais ça dépanne en attendant qu'elle décroche un poste au Met. ● Car oui, son dream job est d'être guide-conférencière (parce que conservatrice c'est un peu trop ambitieux pour être réalisable) au Metropolitan Museum of Art de New York. Elle y travaille déjà en tant que bénévole, mais s'est mise à étudier pour intégrer le programme de visites guidées et, avec un peu de chance, trouver une place plus définitive par la suite. Pendant son temps libre, du coup, elle bouffe tous les bouquins qu'elle trouve sur l'art d'Egypte et de Grèce antiques, révise ce qu'elle a appris en bossant dans le musée ridicule où elle bossait quand elle vivait à Oak Grove, arpente les galeries du musée pour discuter avec les employés, et s'est même remise à travailler son espagnol histoire de mettre toutes les chances de son côté. ● Elle s'efforce de régler toute contrariété par un froncement de sourcils, une tasse de thé brûlant et une tranche de pain d'épices (spoiler alert : ça ne fonctionne pas souvent). ● Elle fait partie de ces gens qui arrivent à s'endomir à peu près n'importe où et qui ne se réveilleraient avant 10h un dimanche matin pour rien au monde. ● Il lui arrive d'avoir des crises d'angoisse, parfois, et c'est pas très cool mais elle se soigne. Elle a d'ailleurs un arsenal d'applications diverses et variées pour la guider quand ça va pas, et c'est à peu près la seule raison pour laquelle elle a un téléphone. ● Car elle utilise très très très peu son téléphone portable. Elle oublie même souvent de le prendre avec elle quand elle sort. Pas du tout contreproductif. ● Elle sourit à peu près à tout le monde dans la rue, ce qui pousse les gens à la cataloguer soit de lunatique, soit de touriste. ●


( enimoe/noémie )
âge ○ 25 ans fréquence de connexion ○ quotidienne normalement comment nous as-tu trouvé ○ via Bazzart type de personnage ○ inventé/prélien/scénario (rayer la mention inutile lulz) crédits ○ ohsophieturner@tumblr & nayyirah waheed commentaire ○ Mayella est un vieux personnage que je reprends dans une nouvelle vie et je l'aime d'amour alors aimez la d'amour aussi  :bou:



Dernière édition par Mayella Milburn le Jeu 3 Jan - 20:53, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: mayes ● know that means I’ll have to leave   mayes ● know that means I’ll have to leave EmptyJeu 3 Jan - 20:52

( history has its eyes on you )


Ce n'était décidément toujours pas le genre d'endroit qu'elle affectionnait particulièrement. Pourtant, elle s'avança à travers la foule, un peu moins dense que ce à quoi elle s'était attendue, jusqu'à atteindre le bar. Presque tous les tabourets étaient libres, car tout le monde se massait devant la scène pour écouter le groupe le plus en vogue du moment, qui se produisait gratuitement dans le plus petit établissement qu'il ait trouvé, un vendredi soir, à New York City, parce que why the hell not?
Mayella s'assit sur un tabouret en bois, un peu bancal et poisseux, et commanda une bière. Elle tournait le dos à la scène, mais marquait le rythme de la chanson de petits tapotements de doigts contre son verre froid, parce qu'il n'était pas utile de prétendre ne pas connaître une seule de leurs chansons. Ou de ne pas connaître un seul des deux gars qui s'agitaient sur l'estrade. Elle les connaissait toutes, leurs chansons. Et elle les connaissait tous les deux, les gars.
Elle posa son front contre ses bras croisés sur le bar dans un geste aussi dramatique que possible, parce qu'elle ne savait pas ce qui l'avait poussée à venir ici, sans même prévenir Hoyt qui aurait peut-être eu l'idée de la dissuader, mais qui était désormais trop occupé à sourire de toutes ses dents derrière son synthé pour se rendre compte que sa petite soeur était en train de siroter un breuvage alcoolisé dans la même pièce que lui. Ugh. À quoi s'attendait-elle, exactement ? À ce que dès l'instant où elle aurait mis les pieds ici, le monde ait cessé de tourner, la musique se soit arrêtée, et il ait bondi hors de la scène pour la prendre dans ses bras, sans qu'elle n’ait rien à faire ?
Dans l'attente d'un tel phénomène peut-être, elle avait jusqu'alors résisté à la tentation de se retourner, de poser son regard sur eux, sur Oliver, dont elle sentait la voix vibrer jusque dans sa poitrine, de le voir en chair et en os, bien heureux, bien accompli, et bien passé à autre chose. Et puis merde. Elle n'y tint plus, pivota sur son tabouret, les jambes pendant mollement dans le vide désormais, et enfin, le vit.
Juste au moment où ils entamaient une nouvelle chanson. Une chanson dont les premiers accords lui parurent familiers, mais qu'elle ne reconnut pas comme une des leurs. Qu'elle ne reconnut pas tout de suite, d'ailleurs. Jusqu'à ce qu'Ollie éructe les premières paroles, et alors tout se mit douloureusement en place.

Beat on the brat
Beat on the brat
Beat on the brat
With a baseball bat
Oh yeah, oh yeah, oh oh


Pendant l'espace d'une seconde et demi, Mayella Milburn eut l'impression que quelqu'un avait débranché toute la sono, car un bourdonnement lui sifflait à présent dans les tympans, alors que la bouche d'Oliver, qu'elle fixait toujours, subjuguée, continuait de s'animer sans qu'aucun son n'en sorte plus. Elle regarda frénétiquement à gauche, à droite, chercha à capter le regard de Hoyt qui semblait presque la fuir, comme s'il savait qu'elle était là et qu'elle entendait ça et qu'il était sans doute un peu tard pour lui infliger ce genre de punition deux ans après, non ? Peut-être que ce n'était pas une punition, d'ailleurs. Peut-être que ça n'avait rien à voir avec elle. Peut-être que c'était une chanson qu'ils jouaient régulièrement dans leurs petites soirées pas médiatisées, histoire de se rappeler le bon vieux temps, de ne pas oublier qu'il fut un temps où l'ex de Mayella Milburn s'était fait fracasser le corps à coup de batte de baseball par le père de la même Mayella Milburn, et que c'était aussi pour ça qu'elle ne faisait plus partie de la vie ni de l'un ni de l'autre, et que le monde entier devait le savoir alors on jouait cette chanson débile par ce groupe débile qu'elle avait été suffisamment débile pour aduler à un moment de sa vie et comment imaginer une seule seconde que ça n'avait rien à voir avec elle, que ce n'était pas d'elle qu'il s'agissait quand Oliver Prewett se pavanait avec cette chanson ?
Elle ne se rendit pas compte qu'elle était en train de s'enfermer dans sa propre tête, comme le formulait avec poésie sa psy, jusqu'à ce qu'une main se saisisse de son bras et l'aide à glisser de son tabouret. C'est à ce moment-là qu'elle se rendit compte que le sifflement qui lui bouffait les oreilles n'avait fait que s'intensifier en l'espace de quelques secondes, parce qu'elle n'arrivait pas à respirer et que sa gorge la brûlait en essayant d'emmagasiner l'air que sa bouche expulsait trop brusquement dans un chuintement désagréable.
Vous hyperventilez, lui indiqua une voix quelque part à sa droite, au moment-même où elle arrivait à la même conclusion.
Alors la main la traîna vers la foule, l'aida à la traverser jusqu'à atteindre la porte, et elle, elle n'avait que l'impression de planer au-dessus de tout ça, au milieu de tout ce bruit, alors que concrètement elle ne faisait que trébucher à chaque pas, que pousser les corps qui l'entouraient dans l'espoir d'obtenir un peu d'oxygène mais elle n'y arrivait pas, et elle avait l'impression d'entendre Ollie lui murmurer à l'oreille with a baseball bat, oh yeah. Et la main avait beau la tirer en avant, la voix ne la lâchait pas, pas même lorsqu'elle se retrouva dehors, assise sur le trottoir, le dos appuyé contre un mur, la tête entre les genoux, et une main lui caressant les cheveux.
Elle n'arrivait pas à réfléchir. Elle était venue ici dans l'espoir inavoué de revoir Oliver, de  lui parler, peut-être de lui rendre sa veste ridicule qu'elle avait fait l'effort de porter, de lui montrer qu'elle était saine d'esprit désormais, et qu'elle n'était plus une source d'ennuis. Une douzaine de mots avaient suffi à prouver le contraire. Au moins, il ne l'avait pas vue.

Inspire. Expire. Sors ton téléphone. Voilà, bien. Déverrouille-le. Ouvre l'application. C'est bien. Choisis le mode crise. Inspire. Expire. Écoute.

Ça va mieux ? s'enquit la même voix que celle du bar après quelques minutes, lorsque son téléphone eut fini de lui donner ses instructions et que sa respiration fut régulée, et Mayes se rendit enfin compte qu'elle n'était pas seule, qu'il y avait quelqu'un qui avait été témoin de ses hoquets et de ses larmes dégueulasses, et qui avait quand même pris le temps de l'escorter dehors et de s'assurer qu'elle allait bien.
Elle tourna la tête vers la femme qui lui avait parlé, et l'apprécia tout de suite.
Les crises d'angoisse ne sont pas si rares. Ils peuvent être assez intenses, ces mecs.
Vous les connaissez ? demanda Mayes d'une petite voix faible.
Oh, oui. Je sors avec le chanteur.
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mayes ● know that means I’ll have to leave
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